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«Lorsque Gregor Samsa s'éveilla un matin au sortir de rêves agités, il se retrouva dans son lit changé en un énorme cancrelat. Il était couché sur le dos, dur comme une carapace et, lorsqu'il levait un peu la tête, il découvrait un [...]texte imprimé
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La France de Napoléon III vue par Zola : «À cette heure, Paris offrait, pour un homme comme Aristide Saccard, le plus intéressant des spectacles. L'Empire venait d'être proclamé... Le silence s'était fait à la tribune et dans les jo[...]texte imprimé
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«Elle sanglotait. L'abbé Faujas avait redressé sa haute taille, il s'approcha de Marthe, laissa tomber sur elle son mépris de la femme.- Ah ! misérable chair ! dit-il. Je comptais que vous seriez raisonnable, que jamais vous n'en vi[...]texte imprimé
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Dédicacé au «grand ami Flaubert, en haine du goût», L'Assommoir, parce qu'il peignait sans complaisance la condition ouvrière, la folie née de la misère et de l'alcool, provoqua une nouvelle bataille d'Hernani. «M. Émile Zola est le[...]texte imprimé
«"Henri, je vous en supplie... Laissez-moi..."Mais il lui avait saisi les poignets, il l'attirait lentement, comme pour la vaincre tout de suite d'un baiser. L'amour grandi en lui pendant des mois, endormi plus tard par la rupture d[...]texte imprimé
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L'histoire d'un immeuble dans le Paris embelli, policé, moralisé, rentabilisé par la révolution haussmannienne. Le propriétaire, les locataires, le terrible concierge, des employés «résignés comme des chevaux de manège», un architec[...]texte imprimé
Le Second Empire vise à faire de Paris la capitale de la mode et du luxe. La ville se modernise. Les boutiques du Paris ancien laissent place peu à peu aux grands magasins, dans le voisinage des boulevards et de la gare Saint-Lazare[...]texte imprimé
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«Non, non, balbutia-t-elle, je t'en prie... c'est sale..."Mais elle ne se défendit point. Elle n'eut qu'un cri de douleur. Il lui semblait que le sol fuyait sous elle ; et, dans ce vertige, elle ne savait plus : était-ce l'autre qui[...]